Freezing RPG
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 Papa Wil est là ~

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AuteurMessage
Wilfried Von Berschia

Dirigeant - Lord Hopeless
Wilfried Von Berschia

NovaPieces : 3000
Messages : 9
Date d'inscription : 16/06/2011

Feuille de personnage
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MessageSujet: Papa Wil est là ~   Papa Wil est là ~ I_icon_minitimeSam 18 Juin - 10:59

I - Identity


Nom : Von Berschia
Prénom : Wilfried
Age : 38 ans.
Date de Naissance : 27 Février 2064.
Surnom : Wil', ou Wilou pour les intimes.
Type : Madness.
Rang : Dirigeant.


II- Mental Description


Description Mentale : Décrivez la mentalité de votre personnage, son caractère, ce qu'il aime...


Comme c'est périlleux de votre part d'entrer dans mon esprit, ne vous a-t-on pas prévenu ? Personne, non, une fois entré il est dur de voir le monde autrement. Les gens ne me voient que comme manipulateur, exigeant et un simple savant fou. Ils n'ont pas tort, mais si personne n'était fou ? Comment avancerez vous dans la science ? Exact pour pouvoir être le meilleur il fait dépasser les limites posées, il faut aller plus loin que l'éthique, bien plus loin que ce dont la conscience et le réel vous apporte. Je suis une personne qualifié de savant fou, et je l'assume pleinement, en réalité je suis ambitieux, simplement ambitieux et persévérant. Mes qualités en tant que savant ne sont plus à être vérifiées. Je suis le digne créateur de ce fait que l'organisation Madness puisse concurrencer Genetics. C'est cela, j'ai crée les Hopes et les Seeds, mais pas à n'importe quelle prix, pour cela j'ai du aller plus loin que toutes éthiques. Mais cela n'affecte pas mon mental, reprenons. Je suis donc une personne prêt à tout pour ses objectifs. Je n'ai donc aucune pitié pour mes adversaires, ni pour mes proches. Je suis un savant avant d'être père, c'est cruel ? Je le sais, je culpabilise parfois, mais je considère mes enfants comme des êtres normales, tout comme les autres êtres vivants parcourant ce monde, ils ont mon sang, ils sont mes expériences également. Rien ne les différencie, je suis comme ça. Je vouerais ma vie à la science, à la découverte de ce qui changera ce monde, de ce qui révolutionnera la guerre, ce qui apportera la paix, ce qui changera l'Univers.

Mon ambition est grande, peut être trop, mais ma détermination me pousse au delà des limites. Je suis ce genre de personne. Mon caractère peut varié, allant de froid à charmeur. Je n'ai aucune honte à jouer de charme et de manipulation si cela peut me donner quelques avantages pour mes expériences. Outre cela, mon ambition me pousse également à être exigeant, les personnes travaillant avec moi ou pour moi doivent être les meilleures. Si cela n'est pas le cas, ils seront mes cobayes. Mon manque d'éthique et d'intégrité me fais faire pas mal de chose interdites. Mais je ne regrette rien, la culpabilité est belle et bien là, mais j'ai appris à vivre avec, je n'ai plus peur des reproches. J'ai décidé de vouer ma vie aux expériences, je m'y emplois donc, poussant les limites au maximum, enchainant expériences et recherches. Ceci étant dit, dans la vie de tous les jours, dans le quotidien, je suis un personne des plus sociables. Malgré le fait que chaque personne que je rencontre est susceptible de m'intéresser pour devenir un de mes cobayes, je suis toute ouïe, et très observateur. Issu d'une vieille famille riche et noble, mon rang sociale me permet de côtoyer les personnes les plus hauts placées, de ce fait, j'aime regarder les antécédents ou leurs problèmes. Etant, sans me vanter, un très bon scientifique, je n'ai pas de mal à cerner les gens, je suis très bon psychanalyste. J'observe pour décider qui des personnes m'entourant deviendra celle qui sera sur ma table d'opération. On peut me qualifier de sadique, je peux prendre assez de recul pour m'en rendre compte, en effet, je n'aime pas vraiment les gens, je pense que le monde pourrait être bien meilleur sans la plupart des hommes, c'est pourquoi, j'aime prendre les pourritures en expériences, ce sont le types de personnes les plus passionnantes. Effectivement, contrairement aux idées reçues, elles ont un coeur comme tout le monde, et même parfois, un cerveau, chose étonnante il est d'en trouver sur certains patients.

D'un caractère très enjôleur, je ne passe pas inaperçu, j'aime parlé aux gens, découvrir leurs secrets et autres choses palpitantes. Charmeur, j'aime la gente féminine, et ma défunte femme n'ayant pas appréciée le bistouri, ne peut m'empêcher d'en côtoyer d'autres. Il ne m'arrive pas d'être désagréable, mis à part, par la parole, en tant que noble je suis une personne imbus de sa propre personne. N'ayant de véritable respect pour les gens le méritant, mis à part cela, je garde une posture assez hautaine et arrogante. Bien que dans mon caractère je ne le suis pas, min regard et mon menton souvent légèrement relevé restent signe de supériorité.


III- Physical Description


Description Physique : Décrivez votre personnage, ses cheveux, son visage, son corps, sa musculature...


Mon physique n'a rien de très intéressant. Et je n'ai guère envie de vous l'exposez. Cependant, mon éducation est telle que, non par choix, mais par politesse je vais vous décrire à quoi je ressemble. Partons de la carrure générale, c'est à dire lorsque l'on me voit d'une vingtaines de mètres, à quoi pensent les gens. A cette distance je suis toujours aussi élégant, on peut me voir plutôt facilement. En effet je mesure dans les un mètre et quatre-vingt quatre-vingt cinq centimètres, ce qui est dans la normale pour un homme de mon âge, et de ma trempe. Mon élégance naturelle est également donné par ma posture droite et sans défaut. Très élancé, je suis une personne assez maigre, ne pesant qu'une soixantaine de kilogrammes. Certes cela est peu mais je ne peux me permettre d'arborer autre chose que du muscle. Même de loin on peut remarquer ma musculature, sur les épaules par exemple. De peau légèrement bronzée, mon habillement, ma posture et mes cheveux soyeux font de moi une personne très propre, très classe, je suis le représentant de la famille Von Berschia, ce qui n'est pas rien. Poursuivons, et avançons nous un peu, regardons le détails.

Nous débuterons par le bas, remontant peu à peu. Mes pieds, je peux juste dire que j'en ai bien deux, symétriques, assez long et recouverts par des chaussettes puis des chaussures. En remontant nous tombons sur les jambes. Assez longues et frêles, elles me permettent d'avoir une posture très élancée. En combat, elles me sont utiles pour la souplesse et pour la vitesse. Exactement, plutôt longues pour les mouvements rapides et assez musclées pour mes appuies, elles sont des aides à ne pas négligée lors d'un face à face physique. Autrement, ce ne sont que de simples jambes, comme chaque personnes possèdent. Je ne vous ferais pas le plaisir de décrire ce qui suit normalement, constitué comme chaque personne, vous vous doutez de ce qui s'y trouve.

Passons donc à la prochaine étapes, celle du tronc principal d'un corps. Séparons le en deux parties, le buste constitué des épaules et des pectoraux, et le bassin, ajoutant les abdomens. Ces deux parties sont assez développés, même si je ne suis pas un combattant surdoué, je m'entraine physiquement parfois, même si je préfère l'esprit au physique. Bref, mes épaules sont assez carrées et laissent donc des bras plutôt fins, aboutissant à une main, sur chaque bras bien sûr, très fines également. Etant un savant, un chercheur, un laborantin, j'utilise beaucoup mes mains, et le expériences médicales ou autres, nécessite des mains fines et délicates. Tout comme le piano, dont je suis un partisan. Mes pectoraux assez musclés pour être marqués sur mon buste, mais à part ça ils ne sont pas exceptionnels. Il en va de même pour mes abdomens, bien que bien dessinés sur mon corps, ils n'en restent pas moins en dessous d'une personne physique. Je reste avant tout une personne délicate, réfléchie et partisan des bonnes choses.

Passons donc à mon visage, en général apprécié, il est fin et arborent des traits finement tracés. Bien qu'âgé de 38 ans, mon visage m'en donne pratiquement 30, l'avantage d'un entretien quotidien. La mâchoire presque continue, mes fins traits apportent une douceur à mon menton. Ma bouche, quand à elle, est assez longue, mais constituée de deux fines lèvres. Souvent entre ouverte pour lâcher un jolie sourire, ou bien pour porter une cigarette au bout de ces dernières. Passons à mon nez, légèrement pointu tout comme mon menton. Très fin et très bien aligné sur le visage, il ajoute plus de douceur à la face. Mes joues sont parfaitement dosées pour mon visage, très douces et fines elles entrent parfaitement pour cadrer le bas de mes yeux, mon nez, et ma bouche. Lors d'un sourire, deux petites fossettes s'y dessinent. Poursuivons sur le plus important, les yeux, d'une couleur ambré, ils contrastent le reste du visage ainsi que ma peau, en effet, ils donnent un caractère plus fort, plus rustre. Légèrement allongés, mon regard peut être froid et chaleureux à la fois, laissant apparaître une brillance des pupilles. Finissons par les cheveux, deux choix sont possibles, soit je les laisse tombant sur mon visage, légèrement ébouriffés, donnant un air un peu plus négligé sans pour autant que cela ne soit pas à la hauteur de mon rang, ou bien, je les plaque en arrière, laissant seulement les boucles se faire derrière mon crâne, cette fois donnant un air plus propre, plus noble, plus agréable.

Terminons avec mes habits, très simples et très classes. Je n'ai pas grand chose à ajouter. Etant de sang noble, je dois être bien habillé. Ce qui signifie de porter une chemise, souvent blanche pour aller avec un blazer noir, serré à la taille. Un pantalon en toile noir, ou bien un jean foncé, légèrement brillant donnant un air fantaisie, allant avec des chaussures italiennes, cirées noir. Le tout accompagné d'un chapeau haut de forme, ainsi que des gants blancs, et d'une canne parfois. Ces vêtements sont évidemment troqué par une blouse, des gants en latex et des lunettes. La canne, elle, est remplacée par toutes sortes d'objets tranchants..


IV - History


Histoire : L'histoire de votre personnage, depuis son enfance jusqu'à aujourd'hui.


Depuis des générations les Von Berschia était une famille réputée pour leur patrimoine. Doté d'une fortune gigantesque et d'une forte renommée dans la technologie. Cette famille allemande était dirigé par ce qui se trouvait être mon père, Klaus Von Berschia, la composition de la branche principal se complétait avec sa femme, Angela Von Berschia, ma mère. D'un caractère très dur et très autoritaire, Klaus dirigeait la famille d'une main de fer, digne d'un dictateur, il ne s'occupait pas de sa famille, il les traitait comme des simples individus peuplant la demeure familiale, des individus, que dis-je.. Des cafards arpentant la demeure. N'ayant de respect seulement pour sa personne, il était un développeur technologique très réputé possédant des écoles, des firmes et des laboratoires partout dans le monde. Ceci était la cause de cette incroyable richesse, et il en était le chef. D'une intelligence hors du commun, les gênes des Von Berschia n'était qu'autre que des modifications, oui, cela aurait été un déshonneur si un descendant n'arborait pas la digne puissance d'esprit de la famille, cette dernière ayant construit sa réputation dessus. Klaus avait un frère, Albert, et une soeur, Lana. Ces deux autres membres de la famille n'avait pas la moindre once de pouvoir, ils n'étaient que des sous fifres attendant la mort de Klaus pour prendre le trône de la famille. En effet, Klaus était âgé d'une cinquantaine d'année, et aucun héritier était à l'ordre du jour. Ceci était au plus grand désespoir d'Angela, ma mère. N'ayant rien à faire de ses journées, elle les passait à pleurer dans ses draps ou au coin de sa fenêtre. Elle n'avait aucune reconnaissance par les Von Berschia, chacun des membres la considéraient comme un parasite rongeant la fortune. Elle en souffrait énormément, et chaque nuit, essoufflée dans on lit par l'acte sexué, elle priait pour que le ciel lui offre un enfant. Sa gentillesse et son bonté n'avait aucune reconnaissance dans la demeure, mais le ciel entendit sa souffrance et répondit à ses prières, ceci est l'arrivée de Wilfried, moi même, narrateur de cette histoire.

Berlin, 2064, le 27 Février.

C'est dans le sang et les cris les plus atroces que j'arrivais au monde. Je ne me souviens pas de cette étape de ma vie, mais ma mère, dont les seuls maigres souvenirs sont ces quelques paroles. Elle me l'avait raconté en détails à mes six ans, gardant son sourire de reine et ses yeux remplis d'amour, elle me susurrait le récit. Malgré ses pleurs et ses cris d'agonie, ce fut le jour le plus béni par les dieux, disait-elle. J'étais un bébé de taille normale, manquant de force, je fus sorti par césarienne, dans le sang, dans mes cris et ceux de ma mère, sans la présence de mon père. Elle ne m'avoua pas qu'il me détestait, mais je m'en étais rendu compte seul, et la lecture de son journal intime trois ans plus tard me fit connaître la réalité. Mes six années sur Terre furent des plus faciles, vivant dans la famille la plus réputée et la plus riche d'Allemagne, j'étais née une cuillère en argent dans la bouche. Moi et ma mère ne manquions de rien, mais cette époque fut marquée par la mort de mon oncle, Albert. Ma mère avait pleurée à l'enterrement, mais mon père était resté solennel, dans une posture imperturbable, ses cheveux gris en arrière, sa cigarette fumant, et son regard froid et calme. D'aussi loin que mes souvenirs peuvent aller, je n'ai jamais vu mon père sourire, et c'est bien parce qu'il est mort que je l'appelle père. En effet, l'appellation « père » m'était interdite, ce personnage haut placé qu'il était ne pouvait se le permettre, enfin c'est ce que ma mère me disait pour calmer mon manque d'affection, mon manque de repère. Je l'appelais donc «  Monsieur Von Berschia », me permettant parfois de dire « Monsieur Klaus », mais ceci restait rare.

Ma mère m'éleva seule, elle était toujours là, passant ses journées, non plus à pleurer, mais à sourire. Elle m'avoua plusieurs fois que j'étais son cadeau du ciel, sa raison de vie, son seul amour. Je grandis donc dans l'amour maternelle, heureux, simplement. Après la mort d'oncle Albert, un climat étrange s'était installé dans la demeure. Non pas de réjouissance, mais un certain affolement présent autrefois avait disparu. Je ne le connaissais que très peu, mais je l'aimais bien. Il avait en quelque sorte remplacé l'absence de mon véritable père. Bien qu'il s'adressait à ma mère comme un chien, il essayait de m'amadouer. Je n'en étais pas conscient, mais il me voulait dans son camp, je l'appris plus tard. Cependant, ce n'était pas le cas de ma tante Lana, une véritable peste, elle avait même de mal à supporter ma présence dans la maison. Dégoutée par mon simple visage, elle essayait, en vain de perpétuer la tradition familiale. C'était les mots utilisés, présent sur les genoux de ma mère, lors d'un repas où toute la famille était là, c'est à dire père, mère, tante Lana, mes cousins. La famille d'Albert avait été congédiée et déshéritée à sa mort. Aux simples mots de ma tante, tout le monde se stoppa de manger, regardant mon père, présidant la tablée. Ma mère écarquilla les yeux, chuchotant à son mari de ne pas le faire, lui suppliant, je crus la voir pratiquement pleurer. Mon père ne broncha pas, impassible, il s'essuya la bouche, enlevant de sa serviette de soir blanche les quelques miettes de pain lui restant dans sa barbe pour ensuite déclarer que le temps n'était pas venu. Ma mère soupira de soulagement, et ma tante quitta la table d'un air énervé. Je n'avais rien compris à ce qu'il venait de se passer, je le saurais plus tard..

Les années passèrent et me voilà âgée de huit ans, une autre tragédie arriva au sein de la famille. La mort de tante Lana, elle n'était pas morte naturellement comme oncle Albert, non elle s'était pendue, laissant une autre insultant la famille, et ses proches. Elle reprochait à mon père d'être le plus faible dirigeant qu'elle n'avait jamais vu, et qu'une brioche tiendrait mieux les Von Berschia que lui. Sans se mettre en colère, il ne prit pas la peine de faire un enterrement, et jeta mes cousins dans un orphelinat. Un acte horrible, plus tard nous eûmes une bonne ressemblant à tante Lana, chose vraiment étrange. Mais je n'avais plus jamais entendu parler de cette « tradition familiale ». les Von Berschia, bien que toujours aussi immensément riche perdait en réputation, notamment par les morts chaque année, et les plus superstitieux parlaient d'une malédiction. Moi j'apprenais à devenir un virtuose du piano, à bien me tenir, à m'habiller correctement, et à être poli. Bien que mon père ne me donnait aucun signe d'affection, je le prenais en idole, essayant de l'impressionner, juste pour le rendre fier. Mais je n'avais que très peu de reconnaissance, il m'adressait pratiquement pas un mot, une petite tape sur la tête de temps en temps. Une année passa et ma mère tomba malade, je me retrouvais légèrement seul. Les médecins ne lui donnaient pas plus d'un mois à vivre, mais papa lui permit d'en vivre six. A sa mort, mon père fut étrangement dévasté, elle lui légua un dernier je t'aime, et m'offrit son journal intime, là où elle inscrivait toutes les vérités.

En lisant ce livre, je me rendis compte de bien des choses. J'appris que mon père n'avait pas pu assisté à ma naissance, non pas par choix, mais il devait occuper les charognes qu'était tante Lana et oncle Albert, tout deux ayant des plans à mon égard. Très vite je su également qu'oncle Albert ne m'aimait pas vraiment, il s'approchait de moi sachant que j'étais l'héritier, il ne voulait pas me trahir, mais il voulait avoir main mise sur le dirigeant de la famille, pour négocier sa situation au sein de cette dernière. Je me rendis compte également que mon père était l'auteur de sa mort, oui, ma mère notait qu'il avait entreprit de me kidnappé, ayant une trop grande soif de puissance et ne voulant plus être patient. Je ne fus pas attristé par cette nouvelle, mais petit à petit je compris que mon père ne me haïssait pas, mais il me protégeait depuis toujours. Et pour ce qui était de ma tante, elle, avait plutôt décidé de me faire passer à cette fameuse tradition. C'est ainsi que j'appris que j'aurais dut, dès ma cinquième année, me faire opérer, changeant mon potentiel intellectuel. J'eus un haut de coeur à cette lecture, si bien que je fermais les yeux, évacuant tout le négatif, pour pouvoir reprendre. Ma tante Lana, me détestait, et pour cause elle avait prévu de faire rater l'opération, me laissant pour mort. De ce fait, avec la mort proche de mon père, et la mort d'Albert elle aurait prit la direction. Mais ma mère empêcha une première fois l'opération, avant que mon père, lui, la repoussait. Ce simple bouquin me fit comprendre que mon père m'aimait, même si le montrait jamais, il était fier, ma mère aussi, elle se réjouissait de ma naissance et mes facultés, j'étais leur fierté, leur amour. Je me sentais enfin vivant, mais désormais ma mère était morte, dans la réalisation de son absence infernale, je pleurais toutes les larmes de mon corps, me réfugiant dans ces draps, m'endormant épuisé par les larmes. Maman, je ne t'oublierais jamais..

Mon comportement changea radicalement, très vite je devenais un pro Klaus Von Berschia. Je suivais son exemple parfait, je n'obtiendrais pas d'expérience, je n'en avais pas besoin, d'après quelques tests, j'avais l'intelligence suffisante et étant âgé simplement de neuf ans, j'avais le temps d'en apprendre encore plus. Je suivais donc mon père partout, lors des réunions, je me tenais à l'écart, écoutant simplement ce qui s'y disait. Les autres chercheurs reconnaissaient assez la puissance des Von Berschia pour ne pas discuter sur ma présence. Je les regardais d'un air noble et hautain, n'ayant aucun scrupule à les prendre de haut. A partir de cette époque mon père ne me montra plus aucun signes affectifs, il se contentait de me montrer les bases de la chimie, puis de la physique antique, de la nouvelle technologie. Il m'enseignait les meilleures techniques d'opérations, me fit exercer sur des cadavres. Je ne bronchais pas, j'avais peur, j'étais craintif, mais sa fierté m'apportait plus que tout. Vivant littéralement à ses crochets, je grandis sous son aile protectrice. Il finissait de m'apprendre toutes les ficelles du métier, il se faisait vieux, approchant les soixante dix ans. Il paraissait être en forme, mais je rattrapais ses oublis et ses erreurs lors d'opérations et calculs algébriques. J'avais quinze ans, et j'étais déjà reconnu pour mes recherches et mon talent opératoire. Mon père était fier de moi, j'avais tout, la gloire par mes talents scientifiques malgré mon jeune âge, la renommée artistique de par mes compétences au piano, et la richesse des Von Berschia.

Très vite, je fis la rencontre de pas mal de jeunes femmes, attirée surtout par ma jeunesse et ma richesse. Mais mon paternel m'interdit toute relations durables, chacune d'entre elles finissaient par devoir rentrer chez elles. Je devenais un pro dictateur, peu à peu mon innocence me quittait, j'avais soif de connaissance, ayant de plus en plus de hâte d'opérer, d'avoir des cobayes humains comme mon père le faisait, j'aimais cela, et bientôt je n'avais plus aucunes limites. C'est donc à mes dix sept ans que mon père souffla son dernier mot, me léguant ainsi toute la fortune de la famille. Accompagné d'une armée de sujet répondant à mes moindres désirs, je pouvais exercer toutes les expériences les plus folles. Je ne vous ai pas raconté ce que nous faisions, nous, les Von Berschia, construisons toutes sortes de technologies aidant la lutte contre les Novas, une sorte d'extraterrestre combattu inefficacement par l'école Genetics. Je n'aimais pas devoir confié ma vie à ses gens, et donc je développais des technologies des plus efficaces et folles que l'Homme n'est jamais créer. Ceci étant dit, un désavantage était clair et net, elles n'étaient que des machines. Mon seul ami et coéquipier, David, m'aidait dans mes recherches, bien qu'il soit d'une aide médiocre, il pouvait m'assister lors de mes recherches et études en tout genre. Mais en tant qu'adolescent, les femmes devenaient de plus en plus intéressantes.

C'est ainsi, que je fus la rencontre de la plus merveilleuse des femmes, Alizée. Elle était plutôt petite, toujours souriante, arborant un regard bleu splendide. Il fallut pratiquement simplement que je me présente pour pouvoir attirer son intention, étant considéré comme un des meilleurs parti d'Allemagne, ce n'était pas compliqué. Après plusieurs restaurants, nous avions pas mal accrochés, même si les sentiments de mon côté n'était pas des plus sincères. Je ne voyais pas en elle ma femme, non, je la voyais comme une passade, une amourette. Cependant, nous passions deux années entières ensemble, et je dus l'épouser. Enceinte de plusieurs mois, le choix m'y avait été forcé, mais je n'étais pas des plus mécontents, je me plaisais dans cette relation. Très vite je délaissais Alizée, reprenant mes recherches plus profondément. Entraîné par David, lui voulant finir des recherches. Je devais choisir entre une vie familiale, et mes recherches. Tout comme mon père, je choisissais de suivre de loin ma vie personnelle, m'intéressant d'abord à ma vie professionnelle. Les disputes s'enchainaient, et c'est une petite fille qui nous réconcilia. Son nom était Alicia, Alicia Von Berschia. Un véritable petit ange, et plus elle grandissait, plus je me demandais si elle serait apte à suivre l'exemple de la famille. Les vrais questions arrivaient, bien que j'étais présent pour ma famille, et que je travaillais toujours autant, je me demandais si en ne faisant pas cette fameuse tradition à laquelle j'avais échappée, serait elle digne d'être l'héritière ? Cette question me torturait, mais la vie continuait. Suivant son cours, la petite Alicia m'avait rapproché d'Alizée, nous vivions un parfait idylle. J'avais pris quelques distances avec le laboratoire et mes propres recherches, je payais des scientifiques pour les poursuivre. David n'était pas content, mais sa médiocrité l'empêchait de continuer seul. Plus le temps avançait plus j'aimais cette famille, et c'est quatre ans plus tard, qu'un autre enfant arriva au sein de notre famille, Aloïs, un petit garçon cette fois ci. Deux enfants, tout était là pour être heureux, et pourtant...

Cinq années s'étaient écoulées depuis la naissance du petit dernier. Tout s'était dégradé, j'avais également pris Aloïs sous mon aile, lui montrant dès son plus jeune âge tout un tas de choses. Mais, Alizée, ma femme refusait que je lui inculque mes connaissance. Elle ne comprenait dont rien, Alicia, ma fille, semblait plus distante, plus consciente des disputes qui s'enchainaient. Mon manque de sentiment envers mon épouse se faisait ressentir, je ne l'aimais pas, elle me tapait sur les nerfs. Elle en était à la limite de m'interdire de voir mes propres enfants. Elle me disait fou, que j'avais aucun amour pour sa famille mais seulement pour les cadavres qui se succédaient dans mon laboratoire. Cependant, j'avais la solution, je l'avais, j'étais à deux doigts d'avoir la perfection au bout des doigts, j'avais la formule manquante. David revenait à la charge, jaloux de ne plus avoir mon attention il prenait le parti d'Alizée. Tout se dérangeait autour de moi, je tournais en rond, perdu, j'en pouvais plus, j'avais besoin de mes enfants, la tradition était juste ou non, ma mère aurait choisis quoi, mon père, ma tante, tout ça, j'en pouvais plus, mon esprit était tourmenté, je craque..
C'est ainsi, que pendant cette ultime dispute, couteau en main, je m'acharnais sur sa poitrine, les yeux fuyants elle abandonna ce monde de mes mains. Je pris quelques secondes pour réfléchir, et enfin, dans mon élan de folie, j'avais la décision en tête. J'allais chercher ma fille, et mon fils, rapidement les emmenant au laboratoire. Je les endormais, leur baisant le front, et débuta, l'opération. Je transformais leurs compétences psychiques, annulant les mauvais souvenirs, je mettais une couleur dorée, ressemblant à me yeux, au regard d'Alicia, elle qui avait hérité des yeux de sa mère. Une fois l'opération terminée, je culpabilisais, mais je n'avais pas eu le choix, je venais juste de découvrir ce qui allait être, la plus grosse découverte du monde entier...

Les années passèrent, lentement, mes enfants grandissaient dans l'ignorance. J'étais devenu un dirigeant de Madness, en effet, plusieurs laboratoires, les plus compétents avaient été conciliés ensemble, pour créer cette organisation. J'avais été choisis pour un soutien financier et pour mes découvertes technologies, notamment les Hopes et les Seeds, c'est deux choses relevant du miracle, expérimenté par mes propres enfants. Madness, grâce à notre avancée technologique, passait en concurrence face à Genetics et leurs Pandoras-Limiteurs. Fier de moi, j'entretenais des liens étroits avec ma famille, j'avais placé David dans les dirigeants, pour qu'il s'occupe des finances, bien que médiocres en physique et en chimie, il était très doué en mathématiques. Accompagné d'un surdoué, d'un gamin, d'un ancien ami, et d'un fou des laboratoires, nous recevions des ordres d'une mystérieuse femme, fondatrice de cette école. Ma situation était plaisante, et j'essayais, d'avoir une situation familiale...






Famille : A-t-il de la famille ?

Alicia Von Berschia : Ma fille aînée, je suis fou d'elle bien qu'elle ne me le montre pas. J'ai essayé d'être un père présent, mais en dépassant l'éthique, je pense qu'elle m'en veut, qu'elle me craint. Je me suis promis de reconquérir son coeur, en restant un père autoritaire et respecté.

Aloïs Von Berschia : Mon merveilleux fils, bien qu'il n'atteint pas encore les objectifs prévus, en lui un pouvoir immense se réveillera tôt ou tard. J'entretiens une relation père/fils des plus étranges avec lui, mais je l'aime autant que tout autre père puisse le faire.

David : Ancien assistant et collègue, aujourd'hui je lui ai tout donné, même s'il me déteste. Je le soupçonne d'être jaloux, bien que comme ma femme défunte, il ne comprend pas mes choix et mes actes.



V - Weapon(s)


Type d'Arme : Je suis le créateur de cela, ayant modifié mes enfants, je les ai programmés pour qu'ils accourent dès que je le souhaite. Cependant, je me suis permis d'avoir ma propre Hope, "Hopeless"


Apparence : Mon arme est une dague, et lorsque je me bats je porte également un masque, tradition créer par moi et légué à mes enfants. Personne ne voudrait voir un visage noble abîmé. Bref, ma dague a une double lame séparé par un centimètre de vide, de couleur noire légèrement bleutée, elle est pratiquement incassable. Mon masque est quand à lui blanc, ayant un éclair violet sur mon oeil droit, et un sourire sadique rouge, rappelant la couleur du sang.

Papa Wil est là ~ Dark-than-black-hei-mask-sword-0


Capacité(s) : Mon arme n'a pas de capacité à part entière, elle n'est rien d'autre qu'une dague lorsque je suis seul, elle reste utile pour me défendre, même si mes capacités au combat ne sont pas exceptionnelles. Non, comme déjà préciser, ma fille, Sword numéro 1, et mon fils, qui vise sur l'avenir, sont mes protecteurs, venant à mes côtés lors que le danger s'approche de moi. De ce fait, mon arme se met à briller lorsqu'ils approchent, grâce à cela, leurs capacités physiques sont améliorées et poussées au maximum, de plus, leurs Hopes deviennent encore plus puissantes, augmentant leurs temps de Freezing par la même occasion. Mon arme est donc un amplificateur des Hopes, cela fonctionne au maximum avec mes enfants, mais reste possible avec les autres Hopes, le Freezing augmenté en moins.

Freezing : 20 minutes.

VI - In Real Life


Prénom - Pseudo : Dieu ? Baaxx
Âge : 18
Niveau Rp :0 / 10 ! Allez, un peu d'auto-évaluation !
Fréquence de Connexion : 7 / 7 ( sauf cas rares, genre là avec le Bac )
Comment trouvez-vous le forum ? Quelque chose à ajouter/modifier ? Nothing
Comment avez-vous découvert le forum ? Ma fille.
Code : Code bon. Alicia
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Alicia Von Berschia

Sword n°1 - Bloody Roses's Queen
Alicia Von Berschia

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MessageSujet: Re: Papa Wil est là ~   Papa Wil est là ~ I_icon_minitimeSam 18 Juin - 15:48

Yahoo ! Popaaaa !

Huu ~ Bref c'est parfait tout ça, je valide !
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Ryuu Mononoke

Sword n°2 - Lightning's Master
Ryuu Mononoke

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MessageSujet: Re: Papa Wil est là ~   Papa Wil est là ~ I_icon_minitimeSam 18 Juin - 19:55


Bonjour,

Bienvenu sur Freezing RPG Smile j'espère que tu t'y plairas Wink.
Alors voyons tout cela de plus près:


*Mental:
  • Nombre de ligne: validé
  • Cohérence: validé
  • Orthographe: deux, trois petites fautes Wink
  • Observation(s): Aucune ~


*Physique:
  • Nombre de ligne: validé
  • Cohérence: validé
  • Orthographe: deux, trois petites fautes Smile
  • Observation(s): Tu as les cheveux soyeux ? Utilises-tu l'Oréal ? XD (Chante: L'oréal parce qu'on le vaut bien) ~


*Histoire:
  • Nombre de ligne: validé
  • Cohérence: validé
  • Orthographe: deux, trois petites fautes Razz
  • Observation(s): L'histoire si elle va à Alicia c'est bon pour moi, après tout c'est son Popa


Bon bah rien à dire, bonne écriture, fluide, des petites fautes à droite à gauche mais en même temps qui n'en fait pas hein Smile.

Donc....*sort son tampon* Validé



PS: vu que tu as fait des expériences sur ta fille, tu peux pas recommencer pour lui augmenter le tour de poitrine cette fois-ci ?^^ Chutttt ne lui répète pas sinon je suis mort Smile....
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MessageSujet: Re: Papa Wil est là ~   Papa Wil est là ~ I_icon_minitime

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